Zhang Yiyi est un talentueux écrivain chinois qui s’inspire souvent des œuvres d’un certain William Shakespeare, qui le voit comme son idole préférée de point à vouloir lui ressembler à tout prix et non seulement au niveau de l’écriture.

Place à la chirurgie plastique :

Certes, la majorité des écrivains de nos jours sont influencés par l’héritage du maître anglais, mais ce chinois est allé plus loin en tentant de lui copier le visage. Pour cela il a mis sur la table plus de 200.000 euros dans la chirurgie plastique surtout qu’un tel changement demandait trop de boulot.

Pas moins de 10 opérations ont été réalisées sur Monsieur Yiyi pour reconstruire son visage à travers une rhinoplastie, une chirurgie des lèvres et des chirurgies des yeux et ce pendant plusieurs mois. Toutes ces interventions ont été financées par les propres économies de l’écrivain collectées durant les trois dernières années.

 

Les réactions des internautes :

Passer sous le bistouri n’est jamais une décision qui se prend à la légère. En effet, la décision prise par ce célèbre écrivain asiatique remonte à son histoire personnelle, un récit d’enfance difficile où il a grandi dans la pauvre province du Hinan et n’a même pas pu suivre ses études à cause de la pauvreté ce qui lui a permis de se plonger dans les œuvres du grand écrivain anglais jusqu’à ce qu’il devienne un auteur de renommé dans son pays et qu’il se permet de dépenser des milliers d’euros pour remodeler son visage à la Shakespeare.

Ainsi, les réactions n’ont pas trop tardé à venir et sur internet, on peut voir des commentaires du genre « Je pense que c’est une bonne idée. De toute façon, c’est son argent et il peut le dépenser comme il le souhaite » ou encore du genre «  C’est ridicule, quel gaspillage d’argent total. Pourquoi quelqu’un décide de faire quelques choses comme ça à son visage ? ». Entre avis positifs et d’autres négatifs, Zhang Yiyi se trouve maintenant avec une nouvelle apparence physique, un visage qui lui tient à cœur puisqu’il s’agit d’une copie presque parfaite de son auteur préféré, de son idole tant aimée, le grand William Shakespeare.